C’est quoi « i’m feeling curious » dans Google ?

Sur Google, il existe une petite fonctionnalité qui a transformé une simple recherche en moment fun : “I’m feeling curious”. En tapant cette phrase dans la barre de recherche, Google affichait une question aléatoire avec sa réponse, comme un mini jeu de culture générale ultra rapide. L’idée derrière ça : nourrir la curiosité, sans t’obliger à ouvrir dix onglets ou à te perdre dans une spirale d’infos. Ce format court, ludique et ultra accessible a parlé à toute une génération habituée aux contenus snackables façon Reels, TikTok ou vidéos très courtes.

Pour une créatrice UGC, ce petit “easter egg” de Google est super inspirant. Il montre comment un outil technique comme un moteur de recherche peut devenir un espace d’exploration et pas juste un catalogue de liens. Derrière chaque fait affiché, il y a l’indexation, le Knowledge Graph, l’IA… bref, tout un écosystème qui sélectionne le bon contenu, au bon moment, pour la bonne personne. Exactement ce que cherchent les marques aujourd’hui : être présentes là où l’attention se pose naturellement, avec des contenus courts, utiles et engageants. Comprendre comment “I’m feeling curious” fonctionne, c’est aussi mieux comprendre comment ton propre contenu peut être trouvé, lu… et convertir.

En bref 🔍

• ✨ “I’m feeling curious” est une ancienne fonctionnalité de Google qui affichait des faits aléatoires et éducatifs en tapant la requête “I’m feeling curious”.
• 🧠 Elle s’appuyait sur le Knowledge Graph et l’indexation Google pour proposer des réponses fiables et ultra rapides.
• 🎯 C’est un exemple parfait de contenu court, surprenant et mémorable, exactement le type de format qui performe aussi en UGC et en vidéos courtes.
• 📈 Comprendre cette logique t’aide à créer des contenus mieux indexés, plus visibles et plus rentables, surtout si tu t’intéresses à l’impact de l’IA sur la conversion du trafic organique.
• 💡 Tu peux t’inspirer de ce principe pour créer des séries “Le savais-tu ?” sur Insta, TikTok ou YouTube Shorts, en t’appuyant sur les tendances comme les vidéos courtes en 2025.

C’est quoi “I’m feeling curious” sur Google et comment ça marche vraiment ?

La fonctionnalité “I’m feeling curious”, c’était un peu le bouton secret de Google pour les gens qui avaient envie d’apprendre quelque chose… sans savoir exactement quoi. En tapant “I’m feeling curious” (ou “je me sens curieux”), une boîte s’affichait tout en haut des résultats avec une question surprise et sa réponse détaillée. En dessous, un bouton “Ask another question” permettait de relancer la machine et d’enchaîner les découvertes.

Ce module ne se limitait pas à un thème. Il pouvait afficher des faits sur la science, l’histoire, la culture pop, la géographie, la biologie ou même des anecdotes surprenantes. Chaque question venait d’une base de connaissances géante, alimentée par des sources fiables, triées et reliées entre elles.

Fonctionnement de “I’m feeling curious” côté Google

Derrière ce côté léger et fun, la mécanique était très poussée. Google s’appuyait sur trois piliers techniques :

• 🗂️ Le Knowledge Graph : une gigantesque base de données qui relie des personnes, lieux, objets, concepts, dates… entre eux.
• 🤖 L’indexation : des robots qui explorent le web, lisent les pages et les rangent pour les ressortir au bon moment.
• 🧮 Des modèles d’IA : capables de choisir quelles infos sont assez claires, vérifiables et intéressantes pour être affichées comme “fait surprenant”.

Concrètement, la séquence ressemblait à ça :

Étape 🚀	Ce que fait Google 🧩	Ce que tu vois toi 👀
1. Requête	Google reconnaît la phrase “I’m feeling curious” comme un déclencheur spécial.	Tu tapes la requête et valides.
2. Sélection	L’algorithme pioche une question dans une base de faits, basée sur des contenus bien indexés.	Une question aléatoire apparaît.
3. Réponse	Google affiche un extrait clair + un lien vers la source d’origine.	Tu vois la réponse, prête à être lue en quelques secondes.
4. Boucle	Si tu cliques sur “Ask another question”, une nouvelle question est tirée.	Tu peux enchaîner les fun facts comme sur un quiz 🎯.

Résumé : “I’m feeling curious” transformait la puissance de l’indexation et de l’IA en expérience simple, ultra digeste et addictive.

Exemples typiques de questions “I’m feeling curious”

Pour te donner une idée du ton, les questions ressemblaient à :

• 🏔️ “Quelle est la plus longue chaîne de montagnes du monde ?”
• ⚔️ “À quelle période ont vécu les Vikings ?”
• 🌍 “Qu’est-ce que l’hypothèse Gaïa ?”
• 🎬 “Quel film a remporté l’Oscar du meilleur film en 1994 ?”

Chaque réponse tenait en quelques lignes, avec la possibilité de cliquer pour approfondir. Exactement le format qu’adorent les audiences habituées aux micro-contenus : court, punchy, mais assez riche pour nourrir la discussion.

Insight final de cette première partie : “I’m feeling curious” montre que la curiosité peut être servie en micro-dose… sans sacrifier la qualité de l’info.

Pourquoi Google a lancé “I’m feeling curious” (et ce que ça t’apprend sur l’attention)

Si Google a pris le temps de développer ce genre de fonctionnalité, ce n’est pas juste pour faire joli. “I’m feeling curious” répondait à un vrai besoin : redonner du plaisir à la découverte dans un monde saturé d’informations. Les utilisateurs n’avaient plus forcément l’énergie de lancer une grande recherche, mais ils avaient envie d’apprendre “un petit truc” entre deux tâches.

Pour une créatrice UGC, cette logique est super inspirante : au lieu de demander à ton audience un gros investissement (regarder une vidéo de 20 minutes, lire un long article), tu peux lui proposer des formats ultra courts qui donnent quand même le sentiment d’avoir appris quelque chose d’utile.

Les objectifs derrière ce bouton caché de Google

Derrière “I’m feeling curious”, on retrouve plusieurs intentions stratégiques :

• 🎮 Rendre l’apprentissage ludique : transformer une recherche en mini jeu de culture générale.
• 🕒 Optimiser les micro-moments : une réponse en quelques secondes, parfaite pour une pause café.
• 💬 Créer de la conversation : donner des anecdotes à ressortir avec des amis, en réunion, en story.
• 📚 Encourager la découverte continue : ouvrir la porte vers d’autres contenus via les liens proposés.

Ce type de logique se retrouve aujourd’hui dans plein d’outils : des navigateurs augmentés comme ceux analysés dans cet article sur Comet et Perplexity, ou encore des expériences hybrides comme celles imaginées sur Snapchat avec l’IA.

Objectif 🎯	Effet sur l’utilisateur 😊	Inspiration pour toi en UGC 💡
Ludique + éducatif	Apprendre sans se sentir “à l’école”.	Créer des Reels “Le savais-tu ?” sur ton niche.
Rapide	Consommer un contenu en quelques secondes.	Adapter ton script à 15–30 secondes max ⏱️.
Surprenant	Ressentir un effet “wow, je ne savais pas”.	Ajouter un twist ou une statistique choc.
Indexé	Voir des réponses fiables, validées.	Travailler ton SEO pour que tes contenus soient trouvables.

Ce que ça change pour les marques et créateurs

“I’m feeling curious” montre un shift important : la curiosité devient une porte d’entrée vers le savoir et vers les marques. Quand une personne clique, reste, revient, Google comprend qu’elle a trouvé quelque chose d’utile. Pour les créateurs et les entreprises, c’est un signal : il faut investir des formats qui captent cette attention volatile.

Concrètement, une marque peut :

• 📲 Intégrer des “faits rapides” dans ses pages produits pour capter l’œil et enrichir le SEO.
• 🧾 Créer des articles avec des encadrés “Le savais-tu ?” qui peuvent potentiellement nourrir des modules de réponses.
• 🎥 Transformer ces faits en vidéos courtes en s’inspirant des tendances vidéo 2025.

En UGC, ce concept peut devenir un vrai format signature : une série de vidéos où tu réponds à des questions que la cible ne se pose même pas encore, mais qu’elle trouve fascinantes.

Insight final : Google a prouvé qu’on pouvait marier curiosité, rapidité et qualité. Les créatrices qui s’alignent sur cette logique ont une longueur d’avance.

Cette vidéo peut t’aider à visualiser comment Google présente ses réponses et comment adapter ce style à tes propres contenus.

Quels types de questions “I’m feeling curious” proposait (et comment t’en inspirer pour ton contenu)

Les questions générées par “I’m feeling curious” touchaient à des thèmes très variés, mais avec un point commun : elles étaient simples à comprendre et intéressantes pour un maximum de personnes. Pas besoin d’être experte en astrophysique pour apprécier une info sur les étoiles ou l’espace.

Pour une créatrice UGC ou une marque, c’est un excellent modèle pour imaginer des contenus qui parlent à la fois aux débutantes et aux plus avancées.

Les grandes catégories de questions

On peut classer les questions de “I’m feeling curious” en plusieurs familles :

• 🌍 Culture générale : pays, capitales, records du monde, monuments.
• 🧬 Sciences : biologie, phénomènes naturels, corps humain.
• 📜 Histoire : dates clés, événements marquants, personnages célèbres.
• 🎭 Culture pop : films, séries, musique, sport.
• 🧩 Anecdotes surprenantes : faits insolites, curiosités du quotidien.

Ce mix permettait à tout le monde de tomber sur quelque chose d’accrocheur, même en lançant la recherche “juste pour voir”.

Catégorie 🧠	Exemple de question ❓	Idée de contenu UGC associé 🎥
Culture générale	“Quel pays a la plus grande population du monde ?”	Short vidéo “3 chiffres à connaître sur ce pays”.
Histoire	“Quand a commencé la révolution industrielle ?”	Carrousel Insta “Avant / Après : l’impact sur notre quotidien”.
Sciences	“Pourquoi le ciel est-il bleu ?”	Story pédagogique avec schémas simples ✏️.
Culture pop	“Quel film a lancé la carrière de… ?”	Reel “Si tu aimes ce film, tu aimeras aussi…”

Transformer ce concept pour ton audience

L’idée n’est pas de copier Google, mais de reprendre le principe : poser une question simple, donner une réponse claire, proposer un passage à l’action. Par exemple :

• 📸 Si tu parles de réseaux sociaux, tu peux créer une série “Le savais-tu sur Insta ?” pour préparer ton audience à un quiz de connaissances Instagram.
• 💄 Si tu es dans la beauté, tu peux faire “Le savais-tu sur cet ingrédient ?” avec des zooms sur la composition des produits.
• 💰 Si tu abordes le business, tu peux proposer des “Fun facts” sur les revenus dans la tech et renvoyer vers une analyse plus poussée comme celle-ci sur les revenus tech & marketing.

Le format “question-réponse surprise” fonctionne très bien en Reels, Shorts, TikTok, mais aussi en newsletter ou en mini pop-up sur un site.

Insight final : si une question peut se lire en une seconde et donner envie d’avoir la réponse, tu tiens un excellent point de départ pour un contenu performant.

“I’m feeling curious”, indexation Google et IA : les coulisses techniques simplifiées

Pour qu’une réponse apparaisse dans “I’m feeling curious”, il fallait d’abord que le contenu soit bien indexé par Google. La curiosité ne pouvait pas s’activer sans une base solide de pages explorées, comprises et rangées. C’est là que l’indexation joue un rôle clé, autant pour cette fonctionnalité que pour ton propre site ou portfolio.

En 2025, les moteurs de recherche combinent crawl, rendu JavaScript et IA pour définir quels contenus ressortent dans les résultats classiques, mais aussi dans des modules plus “intelligents” comme les encadrés de réponses.

Les étapes de l’indexation, version ultra claire

On peut visualiser le parcours d’une page comme un tunnel :

Étape 🔄	But de Google 🎯	Ce que tu peux optimiser 💪
Découverte	Repérer l’URL (liens, sitemap…)	Maillage interne, sitemap propre, pas de pages orphelines.
Exploration	Visiter la page avec le robot	Vitesse serveur, robots.txt bien réglé ⚙️.
Rendu	Voir le contenu réel (HTML + JS)	Limiter le JS bloquant, contenu visible sans scroll infini.
Analyse	Comprendre de quoi parle la page	Titres clairs, balises structurées, texte lisible.
Indexation	Décider si la page mérite d’être gardée	Contenu original, utile, complet ✨.

• 🚀 Sans indexation, aucune chance d’apparaître dans un module de type “I’m feeling curious”.
• 🔧 Un site lent ou mal structuré gaspille son potentiel de visibilité.
• 📊 Des contenus clairs et bien reliés entre eux ont plus de chances d’être réutilisés par l’IA de Google.

Pour les marques qui veulent booster leur visibilité organique, maîtriser ces étapes devient un levier stratégique. Des ressources comme l’IA et la conversion du trafic organique montrent très bien comment relier technique et résultats business.

Pourquoi c’est crucial pour les créatrices UGC

Tu te demandes peut-être : quel rapport entre tout ça et ton contenu ? En réalité, il est énorme. Quand tu crées des scripts, des fiches produits, des pages de vente, des articles de blog ou des vidéos intégrées sur un site, tu influences directement :

• 📌 La façon dont Google comprend la marque.
• 📌 Les chances que la page apparaisse sur des requêtes de découverte (“c’est quoi…”, “comment faire…”, etc.).
• 📌 La capacité de l’IA à reprendre certaines phrases comme réponse à une question.

En gardant en tête ce que Google cherche pour ses expériences de découverte, tu peux :

• 🌟 Rendre tes textes plus structurés (titres, listes, questions-réponses).
• 📚 Ajouter des mini “faits intéressants” faciles à réutiliser par un moteur de recherche.
• 🤝 Créer des contenus qui jouent vraiment le jeu du web : lisibles, indexables, utiles.

Insight final : derrière chaque fun fact de “I’m feeling curious”, il y a une page bien construite. Faire ce travail sur tes contenus, c’est préparer le terrain pour être trouvée, citée et choisie.

Plonger dans ce type de vidéo te permet de mieux comprendre ce qui se passe en coulisses quand un moteur sert une réponse “magique” en un clin d’œil.

Comment t’inspirer de “I’m feeling curious” pour créer du contenu UGC puissant

Maintenant que le concept est clair, la vraie question arrive : comment transformer cette idée en stratégie de contenu concrète pour toi et pour les marques avec lesquelles tu travailles ? La bonne nouvelle, c’est que le format “question + réponse courte + petite surprise” se décline facilement sur tous les réseaux.

Tu peux t’en servir pour créer des séries, des hooks, des scripts de Reels, des carrousels éducatifs, des quiz interactifs… et faire en sorte que ton contenu soit à la fois fun, utile et aligné avec les objectifs business des marques.

Des formats concrets à copier-adapter

Voici quelques idées de formats directement inspirés de “I’m feeling curious” :

• ❓ Série “Tu savais ça ?” : chaque vidéo répond à une question que ta cible ne se pose pas encore, mais qu’elle adore découvrir.
• 📊 “1 chiffre qui va te surprendre” : format parfait pour l’éducation financière, le business, le marketing.
• 🧪 “Le mythe vs la réalité” : une affirmation fausse très répandue, suivie du vrai fait.
• 🧠 “Une astuce que personne ne t’a expliquée” : micro tutoriel ultra ciblé.

Format 🎬	Structure inspirée de Google 💡	Objectif marketing 🎯
Reel “Le savais-tu ?”	Question accrocheuse + réponse courte + call-to-action.	Éveiller la curiosité et générer de l’enregistrement 📥.
Carrousel éducatif	Un fait par slide avec visuel et explication.	Positionner la marque comme experte.
Quiz en story	Question surprise + 3 options.	Augmenter l’engagement et le temps de visionnage.
Article “Le savais-tu sur…”	Série de faits + liens internes.	Améliorer SEO, conversion, temps sur page.

Connecter curiosité et conversion

La curiosité seule ne suffit pas. L’idée, c’est de la relier à une action claire : s’abonner, cliquer, télécharger, acheter, s’inscrire à une newsletter, etc. Pour ça, chaque fait peut devenir :

• 📌 Une porte d’entrée vers un guide plus complet.
• 🛒 Une intro vers un produit (“Tu savais que… ? Voici comment ce produit t’aide là-dessus”).
• 🧭 Un prétexte pour ouvrir une discussion en commentaire.

Ce lien entre découverte et business se retrouve aussi dans des sujets comme le cold email et les techniques de vente : attirer l’attention avec un insight surprenant, puis orienter vers une offre claire.

Insight final : prends le meilleur de “I’m feeling curious” (fun, surprise, simplicité) et combine-le avec ton expertise pour créer des contenus qui donnent envie d’en savoir plus… et de passer à l’action.

Curiosité, IA et futur de la découverte : ce que “I’m feeling curious” annonce pour la suite

Même si “I’m feeling curious” n’est plus aussi visible qu’à ses débuts, son esprit est partout : dans les réponses directes des moteurs, dans les assistants IA, dans les navigateurs augmentés et dans les expériences hybrides entre recherche et conversation. La curiosité est devenue un pilier des interfaces modernes, du chat IA à la recherche vocale.

Pour les créatrices de contenu et les marques, ça signifie une chose : les contenus qui répondent clairement à des questions, avec des faits solides, seront de plus en plus valorisés.

Des expériences de plus en plus guidées par l’IA

On voit déjà émerger :

• 🧭 Des navigateurs dopés à l’IA, comme ceux étudiés dans cet article sur l’IA et la navigation, qui résument les pages et suggèrent des questions à poser.
• 📱 Des intégrations IA dans les apps sociales (Snapchat, Insta, etc.), souvent analysées dans des décryptages comme les nouvelles expériences Snapchat & Perplexity.
• 🏢 Des entreprises qui repensent leur organisation autour de l’IA, comme expliqué dans l’intégration de l’IA en entreprise.

Dans ce contexte, ton contenu n’est plus seulement adressé à des humains, mais aussi à des systèmes d’IA qui vont l’analyser, le résumer, le citer.

Évolution 🔮	Conséquence pour ton contenu 🧩	Action concrète à poser aujourd’hui ✅
Plus de réponses directes dans Google	Tes pages peuvent être résumées dans un encadré.	Structurer tes textes avec questions, listes et définitions.
IA intégrée aux navigateurs	Les utilisateurs lisent des résumés avant la page complète.	Mettre les infos clés en haut de ton contenu 🏁.
Assistants conversationnels	L’IA peut citer ton site comme source.	Publier des contenus uniques, sourcés, bien indexables.

Curiosité et responsabilité

Qui dit curiosité + IA dit aussi responsabilité. Les faits doivent être :

• ✅ Corrects et vérifiables.
• 🔁 Mis à jour régulièrement.
• 🛡️ Présentés sans manipuler ou exagérer les promesses.

Que tu parles de marketing, de parentalité, de tech ou même d’outils comme les IA de chat (avec des enjeux de sécurité abordés par exemple dans des contenus autour du contrôle parental sur les IA de chat), tu as un vrai rôle à jouer dans la façon dont l’info circule.

Insight final : la curiosité sera toujours là. La vraie différence, ce sera la qualité des contenus qui y répondent… et la place que tu prendras dans cet écosystème.

Comment accéder à la fonctionnalité “I’m feeling curious” sur Google ?

Historiquement, il suffisait de taper “I’m feeling curious” dans la barre de recherche Google pour voir apparaître une question aléatoire avec sa réponse. Cette fonctionnalité a évolué et peut ne plus s’afficher de la même manière partout, mais l’idée reste : Google exploite son index et son Knowledge Graph pour proposer des réponses directes à de nombreuses requêtes de curiosité.

Est-ce que “I’m feeling curious” existe encore en 2025 ?

La forme originale de l’easter egg a été discrètement réduite, voire retirée sur certains marchés. En revanche, la logique derrière persiste à travers les encadrés de réponses, les modules de questions fréquentes et les systèmes d’IA intégrés à la recherche. Même sans le bouton exact “I’m feeling curious”, Google continue de favoriser des contenus courts, clairs et bien structurés pour répondre à la curiosité des utilisateurs.

Quel lien entre “I’m feeling curious” et le référencement naturel ?

Pour qu’une réponse soit affichée dans un module de type “I’m feeling curious”, elle doit provenir d’une page bien indexée, claire et jugée fiable. Cela rejoint directement le SEO : structure des titres, qualité du contenu, performance du site, maillage interne. Plus ton contenu est lisible pour Google, plus il a de chances d’être réutilisé dans des réponses enrichies.

Comment une créatrice UGC peut-elle s’inspirer de ce concept ?

En reprenant le format “question surprise + réponse courte + petite info qui surprend”. Tu peux l’adapter en Reels, TikTok, carrousels ou articles pour les marques : séries “Le savais-tu ?”, mythes vs réalité, quiz rapides… L’objectif est de recréer le même effet que “I’m feeling curious” : donner envie d’apprendre plus, sans demander trop de temps à ton audience.

Quels types de contenus fonctionnent le mieux avec cette logique de curiosité ?

Tout ce qui apporte une info claire en peu de temps : micro-tutos, faits chiffrés, mythes démontés, définitions simples, comparaisons avant/après. Combinés à une bonne structure SEO, ces formats peuvent à la fois booster ton engagement sur les réseaux et renforcer la visibilité des marques dans Google et les outils d’IA.